Seulement si tu en as envie de Bruno Combes aux Éditions Michel Lafon.
Quatrième de couverture :
Vu de l’extérieur, Camille mène une vie parfaite : mariée à un homme de bonne famille, avocate de renom, deux enfants… Et pourtant son mariage s’épuise. Son mari la délaisse, sa belle-famille se montre méprisante, sa fille adolescente reste focalisée sur son téléphone portable, seul son fils, Lucas, lui apporte un peu de réconfort. Alors quand le premier garçon qui a fait battre son cœur la recontacte après vingt-sept ans, elle se laisse emporter dans un tourbillon de sentiments. Stephen est bouquiniste, et vit entre ses librairies de Paris et de Londres. Elle profite d’un déplacement professionnel en Angleterre pour le revoir. Lui n’a jamais cessé de l’aimer et elle retombe sous le charme. Pourtant, Camille met fin à leur relation. Elle tient trop à ses enfants pour mettre en danger sa vie de famille. Quelques mois plus tard, elle reçoit un manuscrit écrit par Stephen.
Mon opinion :
Au détour d’une balade dans une librairie, je tombe sur cet ouvrage, la couverture rigolote m’attire, le titre me nargue, en ai-je envie ? Le résumé de l’histoire finit de me convaincre que c’est un livre pour moi et hop, il est acheté. Et wouahhhhhh, quelle belle surprise et quelle jolie découverte, dès les premières pages je suis happé par la vie de Camille qui pourrait être la mienne ou la vôtre. Puis la page 77 arrive (je cite : Camille s’évadait alors dans un monde fait de sensibilité et de sensualité, l’imaginaire devenait son refuge. Elle inventait des scénarios dignes des plus beaux romans d’amour…) et là mais c’est tout moi ça !
En bref, j’ai adoré ! C’est bien écrit, les chapitres sont courts ce qui fait que l’on a toujours l’envie d’aller plus loin pour connaître la suite. L’histoire de Camille et de Stéphen pourrait être banale, au lieu de cela Bruno Combes en fait une histoire magnifique avec des déclarations de sentiments profonds et des actes d’amour que l’on rêverait connaître. Maintenant j’attends la suite qui sort bientôt avec impatience « Parce que c’était toi… ».