La vie est facile ne t’inquiète pas, d’Agnès MARTIN-LUGAND, aux Éditions Michel LAFON
Quatrième de couverture :
Depuis un an que Diane est rentrée d’Irlande, elle a tourné la page sur son histoire tumultueuse avec Edward, bien décidée à reconstruire sa vie à Paris. Avec l’aide de Félix, elle s’est lancée à corps perdu dans la reprise en main de son café littéraire.
C’est là, aux « Gens heureux lisent et boivent du café », son havre de paix, qu’elle rencontre Olivier. Il est gentil, attentionné, et surtout il comprend son refus d’être mère à nouveau. Car Diane sait qu’elle ne se remettra jamais de la perte de sa fille.
Pourtant, un événement inattendu va venir tout bouleverser : les certitudes de Diane quant à ses choix, pour lesquels elle a tant bataillé, vont s’effondrer les unes après les autres.
Aura-t-elle le courage d’affronter un autre chemin ?
Les ++++++ :
J’avais très envie de connaître la suite de l’histoire de Diane (Les gens heureux lisent et boivent du café), je me suis replongée avec délectation dans cette suite et je n’ai pas été déçu. Sa rencontre avec Olivier nous laisse entrevoir que son travail de deuil n’est pas fini. Ce retour en Irlande m’a fait énormément plaisir, j’aime beaucoup la profondeur des sentiments de Diane et sa force à vouloir réparer le plus important. J’ai ressenti beaucoup d’émotions dans cette suite et une fin heureuse et pleine d’espoir.
Les —————— :
— Encore des larmes, prévoyez des kleenex.
Conclusion :
Quand je dévore un livre, j’aime pouvoir imaginer que je regarde un film, lorsque cette magie opère c’est que le bouquin est bon. Pari réussi pour ce roman, n’ayez pas d’hésitations, il est très sympa à lire. Agnès Martin-Lugand décrit avec justesse et tact le drame de la reconstruction après la perte d’un enfant, elle ne s’encombre pas d’artifice pour dire les choses et j’aime cette façon directe d’écrire. En bref, à la fin du livre j’avais envie de le relire pour ne pas quitter les personnages.
Véronique MASAGU 