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Ce que je n’oserai jamais te dire… de Bruno COMBES

Ce que je n’oserai jamais te dire… de Bruno COMBES, aux Éditions Michel LAFON.

Quatrième de couverture :

« Joy, veux-tu être ma femme ? »
« Oui, je le veux ! », a répondu Joy à Guillaume avec une ferveur égale à la profondeur de l’amour qu’elle lui porte.
Et pourtant, le soir même du mariage, alors que la fête bat son plein, Joy s’évanouit dans la nature.
Guillaume, d’abord fou d’inquiétude puis ravagé par le doute, se perd en conjectures. La gendarmerie n’a rien trouvé de suspect, il semble que la mariée aurait elle-même décidé de partir.
Et en effet, Joy s’est envolée pour le Brésil où elle doit faire face, à nouveau, à un odieux chantage qui menace son petit frère Paulo, dont elle a déjà sauvé la vie une fois au prix de son honneur.
Quand le prêtre qui les a unis lui dévoile la vérité, Guillaume est effondré. Car cette révélation, si elle témoigne d’un courage et d’une générosité sans pareils, remet en cause toutes ses certitudes d’amoureux passionné. Pourra-t-il pardonner à Joy de lui avoir caché ses tourments… et aura-t-il la force de lui tendre la main ?

Mon opinion :

J’ai été intriguée dès les premières pages car on a envie de savoir ce que Joy cache. La narration se fait du point de vue de Joy et de Guillaume et il est intéressant de voir ce que chacun ressent. J’adore les préliminaires que fait Bruno Combes à chaque début de chapitre. C’est une magnifique histoire d’amour qui nous montre l’importance de la confiance et du partage dans le couple. Au risque de me répéter, je suis une fan de littérature sentimentale, mais jamais je n’ai lu de livres d’un auteur masculin qui parle aussi bien d’amour et des attentes des femmes. « Mister Combes », vous nous avez vraiment bien cernées. Merci à vous pour cette très belle découverte, je n’ai pas été déçue et j’attends impatiemment de lire « Parce ce que c’était toi… ».

Citation :

— p 19 : J’aimais Guillaume du plus profond de mon être, il était la meilleure chose qui me soit arrivée et je lui devais la vérité, mais pas encore, pas maintenant, pas comme ça. Je prenais le risque qu’il se sente trahi, qu’il ne le supporte pas et qu’il mette un terme à notre relation.

— p 25 : J’avais naïvement cru que le passé s’effacerait avec la distance, mais il peut resurgir parfois à travers un coup de téléphone masqué vous rappelant que tout doit finir de se payer, même le souffle de vie d’un frère.

— p 31 : Il existe, quelquefois, des situations où nous n’avons pas le choix, nous n’avons que les devoirs que la vie nous impose.

— p 334 : Non, je ne lui devais pas « tout », à Guillaume, je lui devais bien plus, il venait de me démontrer que pour aimer pleinement, intensément, la confiance et le partage sont indispensables, l’attente de l’autre ne suffit pas.

Auteur :

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