Royal Saga : Commande-moi de Geneva Lee aux Éditions Hugo Poche
Synopsis :
Clara Bishop est une femme moderne. Brillante jeune diplômée, introvertie et échaudée par un passé amoureux catastrophique, elle est bien décidée à faire de sa carrière un succès. Elle accepte un jour de suivre sa colocataire à une réception huppée à laquelle participe tout le gotha et rencontre un bel et mystérieux inconnu au charme ravageur au détour d’un couloir.
Quelle n’est pas sa surprise lorsqu’elle découvre quelques jours plus tard à la une de tous les journaux à scandale une mauvaise photo floue de leur furtif baiser. Elle a embrassé le Prince héritier Alexander de Cambridge et il veut la revoir… Prince d’accord mais surtout bad boy ! Pas prince charmant pour deux sous. Il contrôle, il exige. Il est dangereux. Et elle n’arrive pas à lui dire non…
Tous les deux ont des secrets qui pourraient les déchirer ou les conduire à se rapprocher, mais les paparazzi emmêlent tout. Elle doit décider jusqu’où elle est prête à aller… pour le roi et pour le pays.
Entre secrets et scandales, une relation explosive nait de leurs étreintes passionnées mais le sort et la presse s’acharnent et tous deux luttent autant contre leurs démons que leurs familles pour arriver à s’aimer.
Mon opinion :
Le côté princesse ce n’est pas trop mon truc, donc j’étais un peu réticente à lire cette saga. On y trouve tous les clichés de la monarchie et l’auteure s’est fortement inspirée de la famille WINDSOR. Accident de voiture, anorexie, homosexualité, refus de la famille royale, harcèlement des journalistes…L’américaine qui vole le cœur du prince (cela fait très Harry et Meghan). Même si l’histoire est gentillette, ça manque quand même de crédibilité. Ensuite, le côté dominant-soumise est un peu lassant à force. Toutes les auteures reprennent ce même créneau très en vogue depuis 50 nuances de Grey. Par pitié Mesdames, on peut écrire de très belles histoires sans avoir recours systématiquement au concept « je te domine, tu te soumets ». Bref, ça ne restera pas un grand moment de lecture.
Véronique MASAGU 