Cocky Bastard de Vi Keeland et Penelope Ward, aux Éditions Hugo Poche.
Quatrième de couverture :
Aubrey et Chance n’ont rien en commun. Sauf peut-être leur destination : la Californie. Ils se rencontrent dans une station-service au coeur des Etats-Unis, et le destin va faire en sorte qu’ils vont faire route ensemble. C’est le début d’un voyage riche en mésaventures plus étranges et amusantes les unes que les autres. Qui aurait cru qu’une figurine du président Obama et une chèvre joueraient un rôle si important dans leur vie ? Aubrey est sérieuse, un brin coincée. Chance est mannequin et ancien footballeur australien. Il déborde de charme, mais il y a peut-être plus derrière son masque prétentieux et provocateur. Ils ont peu de points communs mais ne dit-on pas que les contraires s’attirent ?
Mon opinion :
Une énième romance, je ne m’en lasse pas, avec tous les clichés habituels mais…Parce qu’il y a un mais…Cette romance démarre sur les chapeaux de roues, la rencontre entre nos deux héros Chance et Aubrey est explosive, les dialogues sont pleins d’humour. On découvre un homme qui tient plus du chevalier servant que d’un branleur. La première partie est racontée par Aubrey et la seconde par Chance et cela à son importance car c’est ainsi qu’il dévoile le pourquoi de son départ précipité. J’aime bien le combat qu’il mène afin d’avoir une deuxième chance. La fin est charmante et pleine de tendresse. Et j’ai adoré mademoiselle la chèvre, assez original comme animal de compagnie !