Je ne cours plus qu’après mes rêves de Bruno Combes aux Éditions Michel Lafon.
Synopsis :
Je m’appelle Louane, j’ai dix-huit ans. Ma vie est facile, enfin, je l’ai cru ; je ne me suis jamais vraiment posé la question. Jusqu’au jour où…
Je m’appelle Laurene, j’ai trente-neuf ans. J’ai cherché le bonheur et, en même temps, je l’ai fui dès qu’il s’approchait. Jusqu’au jour où…
Je m’appelle Louise, j’ai soixante-dix-sept ans. Mon existence m’a comblée et a été d’une parfaite tranquillité. Jusqu’au jour où…
Nous ne nous connaissions pas. Rien ne laissait prévoir l’aventure que nous allions partager. Nos vies allaient en être bouleversées.
Trois femmes, trois solitudes,
mais un point commun :
elles ne veulent plus renoncer à leurs rêves.
Mon opinion :
C’est une drôle d’histoire que nous raconte l’auteur mais c’est un peu la vie de chacun de nous au travers de trois générations. Les personnages sont sympathiques sauf Marie, la fille de Louise. Les 3L comme se dénomme ce trio est intergénérationnel. Ces trois femmes vont aider l’une d’elle à réaliser le dernier rêve de sa vie. Le roman est utopiste mais c’est un des privilèges lorsqu’on écrit un livre. J’aurais cependant aimé que l’auteur approfondisse la relation mère/fille de Louise et Marie pour aider le lecteur à comprendre d’où vient cette animosité/aigreur dont elle ne se départit pas.
Autrement nous retrouvons à chaque début de chapitre, la petite pensée de l’auteur et c’est quelque chose que j’apprécie à chacun de ses livres. C’est un peu sa marque de fabrique.
En résumé, une jolie histoire de drôles de dames. Une note de 4/5.