Oyez, oyez, tous à vos agendas… noter la date du 5 juin !!!
J’espérais faire paraître « Ta nouvelle vie commence ici », le 14 mai. Pourquoi ? Je voulais me faire un beau cadeau d’anniversaire… mais cela ne va pas être possible. Je suis obligée de repousser la sortie de mon livre au 5 juin dernier délai.
Je vous explique pourquoi : je viens de finir ENFIN la énième relecture, il faut maintenant que je mette en page les deux formats sur KDP, j’en ai pour deux jours environ. Ce qui va prendre le plus de temps, c’est la livraison, eh oui… à Avignon, les colis me sont livrés par une société dont je tairais le nom, mais qui est peu fiable, cela fait déjà deux fois qu’elle prétend être passée alors que je suis chez moi… Une fois cette commande reçue, il faut que je vérifie l’intérieur et surtout valider la quatrième de couverture.
Cette étape finie, je vais envoyer à mes lectrices blogueuses mon livre, afin qu’elles le dévorent et qu’elles écrivent une chronique bonne ou pas sur leur blog. J’espère qu’elle sera bonne ! Il faut bien que je leur laisse le temps, elles n’ont pas que moi et c’est déjà tellement gentil à elles de bien vouloir le faire pour une auteure inconnue, merci, les filles.
Toutes ces étapes pourraient être plus rapide, vous allez me dire. Dis donc, Véro, tu as arrêté de travailler pour te consacrer à la lecture et à ta reconversion, oui, mais…
La reconversion, c’est OK, tout est prêt pour septembre, je reprends le chemin de l’école.
Ce qui est chronophage en ce moment pour moi, c’est la recherche d’un nouveau nid douillet pour toute ma smala…
Nous devons déménager d’ici fin juin pour Lyon et je passe un temps fou sur le Net à chercher un appartement qui pourrait nous accueillir, et bien, croyez-moi, ce n’est pas de la tarte ni de la meringue que de trouver un bien dans cette ville.
Les cartons s’empilent, le déménageur est convoqué, mais toujours pas de logement…
Résultat, je prends du retard dans la parution du livre, dans l’écriture de mon troisième roman, dans mes lectures et je trépigne…
Véronique MASAGU 